Patrick Adam – Alain Plouvier

Du 30 juin au 29 juillet 2018

10H / 18H30 LES VENDREDIS & SAMEDIS

leterrier-exposition-Plouvier-Adam-juillet-2018Zone de confusion : chimères, boîtes & peintures

Patrick Adam mène depuis longtemps une carrière de d’artiste « débricoleur ».Enfant, inspiré par son grand-père et son père, il commence à « bricoler des objet », dessiner, travailler l’argile, sculpter. […] La notoriété de Patrick se cristallisera autour du concept de détournement d’objets hétéroclites récupérés çà et là. […] Patrick est aussi, avec Patricia sa femme, connaisseur passionné d’art africain du Congo et de Côte-d’Ivoire. Sans doute y trouve-t-il une source d’inspiration ?
Extrait de Vivons Vouvray, n°11, avril, mai, juin 2017

Après des études de photographie à l’École Louis Lumière, Alain Plouvier fait son apprentissage au Studio 7, boulevard Saint-Germain. Il se lance dans les années 1970 dans l’élaboration de montages et de boites poétiques dans l’esprit des surréalistes (Joseph Cornell). Exposé à la galerie du « Poisson d’Or » (les Halles) il y est remarqué par Edouard Jaguer, Robert Lebel et le poète surréaliste et noue des contacts avec le peintre René Barraud.
En 1975 il quitte Paris pour s’installer en Corrèze avec d’autres amis artistes, puis revient à Paris en 1980 pour s’installer à Ménilmontant. A l’époque, sa transition vers la peinture commencée dans les années 1970 est achevée.
Durant cette période il rencontre les frères Nast (marchands d’art africains), André Gomez (marchand de Balthus et Picasso), le photographe Willy Ronis, et participe à la vie artistique de Ménilmontant.
Dans les années 1990, il entreprend la création de la Grande Buvette à Bamako au Mali, qui nécessitera plusieurs séjours. En 1992, Alain Plouvier décide de quitter Paris pour la Touraine où il achète, à Chédigny, une maison qui deviendra aussi, au fil des années, atelier et galerie d’art.
D’après Archéologie d’un imaginaire – un peintre : Alain Plouvier, Michel DIAZ, éditions Lasimarre.